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30 octobre 2007 2 30 /10 /octobre /2007 15:01
En ce qui concerne  le Giallo Erotico  et le Giallo Rigolo, leurs codes répondent moins à des schémas parfaitement pré-établis. 
Arabella-l--angelo-nero-dcvd.jpg giallon-apoletano130.jpg
Il n’est pas rare de voir quelques codes du Giallo Sado, mélangés à quelques codes du Giallo Psycho être assaisonnés à la sauce cul (Giallo Erotico) ou à la sauce cul-cul (le Giallo Rigolo).
  
Quand au Giallo Késaco, on y trouve de tout et de rien, c’est un foutoir indescriptible ou même un chat à neuf queues n’y retrouverait pas ses petits. 

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30 octobre 2007 2 30 /10 /octobre /2007 11:58
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Dans le Giallo Psycho
 
  1. L’intrigue : toujours policière, elle tourne souvent autours d’un triangle amoureux (le mari la femme, l’amant ou la maîtresse (ceux ci pouvant être l’amant et/ou la maîtresse du mari et/ou celui ou celle de l’épouse, la bisexualité jouant souvent un rôle important dans le déroulement de l’intrigue).
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  1. L’ assassin : il fait souvent parti de ce fameux triangle qui ne tourne pas rond !
    Paranoia--A-Quiet-Place-to-Kill-10.jpg
 
  1. L’arme: En fait comme il y a généralement très peu de sang dans le Giallo Psycho(au contraire du Giallo Sado), s’il y a meurtre c’est plutôt avec un pistolet que le crime sera exécuté, à moins que le tueur n’étrangle tout simplement sa victime de ses propres mains. Sinon, l’assassin s’arrangera tout bonnement pour que sa proie ait un accident, ou mieux, se suicide, cela afin de détourner les soupçons de lui…
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  1. Les meurtres : peu de meurtres au contraire du Giallo Sado ou plus il y en a et mieux on se porte !!!
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  1. Le policier : une constante dans le genre, le colombo de service restetoujours aussi débile… sauf quand il est joué par Marcello Mastroianni, cela va de soiDonna-della-domenica-7.jpg!
 
  1. Les protagonistes principaux :
Le héros : il est soit riche, retors, pervers, manipulateur, machiavélique et beau comme un dieu grec (dont il n’a pourtant pas les mœurs), soit il est la pauvre victime qui ne comprend rien à ce qui lui arrive et qui est promis à une triste fin, même si elle n’arrive pas toujours.
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L’héroïne : soit c’est une sacrée salope qui aime le fric et qui en plus d’être une garce perverse, manipulatrice, machiavélique est aussi bisexuelle, soit elle est la pauvre victime qui ne comprend rien à ce qui lui arrive et qui est promise à une triste fin, ce qui lui arrive d’ailleurs dans presque tous les cas. La plus représentative des héroines du Giallo-Psycho reste Carroll Baker.
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  1. Les personnages secondaires :
Coté garçon : notre héros devrait s’en méfier comme de la peste. En général c’est soit le petit ami caché de sa propre maîtresse, soit l’amant de sa femme. En tout cas ce n’est pas forcément l’ami qui lui veut du bien…
 
Coté fille : soit elle couche avec le héros, soit elle baise avec sa femme. En tout cas, c’est une sacrée coquine, doublée généralement d’une sale garce ! Elle meurt presque à tous les coups, et c’est tant mieux !
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  1. Le titre : plus court celui du « Giallo Sado » il ne comporte pas de noms d’animaux mais à chaque fois une tonne d'allusions sexuelles à peine dissimulées : « Così dolce cosi perversa » (« si douces, si perverse »), « Orgasmo »« Perversion story », « Tue mani sul mio corpo » (« Tes mains sur mon corps ») etc..
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  1. La musique : quand elle n’est pas d’Ennio Morricone, elle est assez « originale ».
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  1. Sexe : ça baigne encore plus dans le stupre et dans le lucre que dans le « Giallo Sado » ! Toujours beaucoup de scènes d’homosexualité féminine. Aucune scène d’homosexualité masculine (au moins dans les années 70/80) le cinéma italien est très machiste et très catholique, rappelons le !
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  1. Le sang : contrairement à l’alcool, il ne coule pas à flot …
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  1. Accessoire : Toujours cette bonne bouteille de J&B qui doit toujours traîner dans le coin, l’étiquette bien visible (pub oblige !). En général a coté, on retrouve une boite de Valium… Le téléphone est aussi un accessoire très prisé. Et utile, au moins pour le spectateur, car il permet en un coup d’œil de « dater » le film…
    Foto-proibite-di-una-signora-per-bene-15.jpg
 
  1. Les costumes et les décors : pour faire taire définitivement les rumeurs, disons le franchement, une fois pour toutes: les costumes ne sont pas de Donald Cardwell, ni les décors de Roger Harth!   
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30 octobre 2007 2 30 /10 /octobre /2007 10:32

 

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Dans le Giallo Sado les principaux codes sont les suivants
 :
 
1-     L’ intrigue : toujours policière, souvent aussi mince qu’une feuille de papier à cigarette, l’intrigue est en règle générale particulièrement tarabiscotée, tournant la plupart du temps autours d’une vengeance ou d’une sombre histoire d’héritage. Il se peut aussi que l’assassin soit obligé de tuer pour supprimer les témoins gênants d’un crime qu’il a commis peu de temps auparavant..
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2-    L’assassin : On l’aura donc compris, si le meurtrier tue rarement gratuitement, ce n’est pas pour autant que c’est un tueur à gages. Tel le concombre, il avance masqué, ganté de cuir noir, bien que certains préfèrent sortir couvert de latex. Par contre aucun n’aura eu le mauvais goût d’enfiler une paire de mitaines mi-coton mi-laine tricotée par sa maman .Et c’est tant mieux !. Comme il se fout pas mal des tendances vestimentaires à la mode, le vilain de service porte en général un habit noir, ce qui va très bien avec son masque, noir lui aussi ou beige clair à la limite (« Sei donne per l’assassino »), les masques de clowns, de hockey ou de carnaval étant réservés à Jason, Freddy et Michael, leurs petits cousins d’Amérique. Dans ce genre de giallo, l’assassin est un sadique. Plus cruel, tu meurs (si je puis m’exprimer ainsi…). Tout est bon pour faire souffrir sa victime avant de lui faire rendre son dernier soupir. On ne découvre son identité qu’a la toute dernière minute du film et c’est la que l’on s’aperçoit qu’il n’est pas du tout celui que l’on croit ! Régulièrement, si c’est un homme, c’est un proche de la victime principale : un ami, un amant, un cousin, un frère, un fils… Si c’est une femme : une copine, une maîtresse, une cousine, une sœur, une fille… Parfois c’est même le héros lui même, mais alors uniquement parce qu’il a eu des problèmes quand il était encore petit (en général, d’après certains spécialistes, tout se joue avant six ans…). Une fois tous ses forfaits accomplis, il est rare que le meurtrier soit arrêté et conduit en prison (sauf dans «L’uccello dalle piume di cristallo », bien que dans son cas l’asile d'aliéné serait plus indiqué). L’assassin DOIT obligatoirement mourir avant le mot fin, généralement dans d’atroces souffrances (il tombe d’une falaise en faisant bien attention de rebondir sur chaque rocher, passe sous tous les wagons d’ un train, se fait décapiter au ralenti par un ascenseur, etc…), mourant ainsi sans mouron par là ou il a péché. Contrairement au « slasher » (autre tueur masqué que les cinéastes américains ont « emprunté » sans vergogne au giallo italien), notre tueur en série ne revient jamais ni à la vie, ni à Waterloo (dont la morgue est toujours pleine, c’est bien connu) et encore moins dans une série de films, toujours plus mauvais au fur et à mesure que l’on avance d’ailleurs dans la série comme c’est le cas pour Jason, Michael ou encore et toujours Freddy, les « slashers » les plus célèbres. Ce qui différencie aussi notre meurtrier du « slasher », c’est que notre killer est il mais peut aussi être elle (meurtrie hier, tueuse aujourd’hui !), ce qui ne l’empêchera aucunement d’ailleurs d’être aussi sadique que son confrère masculin.   Strano-vizio-della-Signora-Wardh-16.jpg 
3-     L’arme: l’argument massue du tueur pour ôter l’avis à sa victime n’est pas le bâton mais le rasoir dit « coupe-chou », en vente dans toutes les bonnes quincailleries.. Propre, nette et sans bavure, la lame du rasoir tranche sans retenue dans le vif du sujet bien avant que celui-ci n’ait eu le temps de dire ouf. Mais, si pour une raison X, notre vilain de service n’a pas de coupe-chou sous la main, il saura très bien se contenter d’un simple couteau de cuisine bien aiguisé, d’un modeste scalpel ou d’une petite lime à ongle. Si l’assassin dans le giallo a une très nette préférence pour l’arme blanche (couteau, hache, lance etc..), il ne dédaignera pas un bon colt 45 de temps à autre ou une corde qu’il pourra « tendrement » enrouler de force autour du cou de sa victime, qui avait décidément la langue trop bien pendue…De toute façon, du moment qu’il puisse faire passer de vie à trépas sa prochaine victime, notre tueur se satisfait aisément de tout ce qui peut bien lui passer sous la main (eau du bain, flacon de vitriol, scie égtoïne, perceuse électrique, grue de chantier voir même bobine de films 35 mm pour les plus pousse-mégots).   ntm-shot0l.jpg
4-     Les meurtres : Souvent violents et sanguinolents, toujours très imaginatifs, ils sont de préférence filmés en caméra subjective, afin de permettre au spectateur de s’identifier à l’assassin. « Nous » devenons donc, l’espace d’un moment, les yeux du tueur et voyons donc (avec tout ce que ce genre de voyeurisme peut comporter à la fois de sexuel et de cruel) « notre » victime fuyant , bien inutilement, le redoutable prédateur que « nous » sommes devenus, avant d’assister, enfin, à l’agonie que « nous » lui faisons subir. Il est a préciser que les images de meurtres dans le Giallo Sadico normalement ne sont jamais floues, sauf dans les films de Lamberto Bava.  non-ho-sono-1.JPG

5-     
Le policier : qui dit meurtre dit bien évidemment police et en général (mais pas systématiquement), quand il n’est pas le personnage principal du film (rare), le policier de service est d’une stupidité sans limite, ce qui contraint le héros (ou l’héroïne) a devoir s’en sortir tout(e) seul(e). Physiquement il ne ressemble à rien ou alors à la limite au lieutenant Colombo (« La coda della scorpione ») ou à Humphrey Bogart (« La Casa d’apputamento »). Il arrive de temps en temps à notre flic d’être du mauvais coté de la loi et donc d’être corrompu. Dans ces cas là, le ripoux mourra avant la fin du film, impitoyablement !. A noter que le poulet peut être aussi une poulette (« Il syndrome di Stendhal », « Il cartaio » deux Argento), mais ce n’est pas forcément mieux pour autant.
  French-sex-murders-copie-1.jpg
6-    Les protagonistes principaux :
Le héros : En général, il met près d’une heure trente pour découvrir l’identité de l’assassin (contrairement au spectateur qui met souvent à peine deux minutes et demie pour certains films !). Il est souvent artiste, parfois journaliste, plus intellectuel que manuel, et s’il agit en détective, amateur donc, c’est uniquement par ce qu’il y est contraint et forcé (pour sauver sa vie ou pire, sa réputation). Il est dans près de 95% des cas hétérosexuel, plutôt mignon (ce qui ne gâche rien), il a de la suite dans les idées et n’a pas froid aux yeux (qu’il a généralement fort beaux, lorsque ceux-ci ne sont pas cachés par une paire de Ray-Ban)..
Rosso-segno-della-follia-7.JPG 
 
L’héroïne : parfois notre héros (j’entends par là LE personnage principal) est une femme, ce qui est plutôt rare car le cinéma transalpin est quand même, sang latin oblige, assez misogyne. Dans ces cas, elle s’appelle Edwige Fenech et comme elle n’a pas froid aux yeux, ni ailleurs du reste, elle court à moitié à poil pendant tout le film en criant à tue tête qu’on en veut à sa vie. Quand donc, elle n’est pas le personnage principal du film, elle est (ou devient) la petite amie du héros, possède un Q.I de taille inversement proportionnée à celle de sa poitrine, est pleureuse, peureuse mais pas frileuse puisqu’elle court pendant la moitié du film à poil en criant à tue tête qu’on en veut, elle aussi, à sa vie. Dans 95% des cas, son petit ami arrive à la sauver in-extrémis des griffes de l’assassin, mais ce n’est pas toujours le cas (et dans ces cas la, rien ne prouve qu’il ne l’ai pas fait exprès d’ailleurs…). Travaillant souvent dans le milieu de la mode, comme Top Model la plupart du temps, notre héroïne est donc toujours au fait de la mode et même quand elle est habillée, on a l’impression qu’elle est nue. Quand elle a enfin trouvé quelque chose à se mettre dans sa garde robe, la Giallo Queen (c’est à dire l’héroïne) adore alors porter des décolletés vertigineux qui mettent en valeur les atouts dont Dame Nature l’a si généreusement pourvue et que le chef opérateur arrive si bien à mettre en lumière.  nude-per-lassassino-06-stor.JPG
7-     Les personnages secondaires :
Coté garçon : Contrairement à leurs copains américains, ce n’est pas parce qu’ils se tapent une fausse blonde siliconée qu’ils vont forcément se faire trucider dans la séquence suivante. Ils sont en général hors du commun, car ce sont des personnages retors (hommes d’affaires véreux), vicieux (en général des curés pédophiles), marginaux (artistes fous, clochards), voire dégénérés (les homosexuels étant souvent malheureusement classés dans cette catégorie). Et pourtant,  ils font partie du commun des mortels puisque ces seconds couteaux s’en prennent souvent un dans le ventre…  coda-dello-scorpione-11.JPG
Coté fille : même si elle est la meilleure copine de l’héroïne, c’est sur qu’elle va y passer ! D’abord parce que dans 90% des cas elle est lesbienne, donc perverse, donc salope donc elle doit mourir (le cinéma italien est certes machiste, mais avant tout catholique!). Et puis si elle n’est pas gouine, c’est que c’est soit une pute, soit un mannequin de mode, donc de fil en aiguille.. elle doit en découdre !
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8-    Le titre : il est souvent à rallonge (plus c’est long, plus c’est bon !) et il comporte régulièrement, mais ce n’est pas obligatoire, un nom d’anima : « La coda dello scorpione », « Gatti Rossi en un Labirinto di Vetro », « Quattro mosche di velluto grigio », « La Tarantola dal ventre nero » ou le fameux  « L’ uccello dalle piume di cristallo »
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9-     La musique : quand elle n’est pas d’Ennio Morricone, elle est assez « originale ».  Casa-con-la-scala-nel-buio-21.JPG

10- Sexe :
comme pour la violence, les scènes de sexe sont toujours présentes dans le « Giallo Sado ». Souvent on assiste à une scène d’homosexualité fémine, malheureusement elles sont nettement moins bien filmées que les séquences de meurtres…
 
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11-  Le sang : il doit toujours être bien rouge et, s’il est récent, fluo.. 
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12- Accessoire : une bouteille de J&B doit toujours traîner dans le coin, l’étiquette bien visible (pub oblige !). Beaucoup de « Giallo Sado » se déroulant dans le milieu de la mode, on retrouve aussi régulièrement des mannequins (de cire). Il est souvent fait référence à des poupées (pas forcément de son). Et une peinture est généralement la clef de l’énigme, faisant référence souvent d’ailleurs à l’enfance de l’assassin
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13- Les costumes et les décors : pour faire taire définitivement les rumeurs, disons le franchement, une fois pour toute,:les costumes ne sont pas de Donald Cardwell, ni les décors de Roger Harth!  
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29 octobre 2007 1 29 /10 /octobre /2007 10:15
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Comme dans tout cinéma dit « de genre » qui se respecte, le giallo possède donc une série de codes bien établis et qui lui sont propres. Ainsi, le spectateur .sait-il à quoi s’attendre (plus ou moins) lors de la vision d’un giallo. Comme il existe plusieurs types de giallis (un giallo, des giallis), les codes varieront peu ou prou en fonction de la catégorie dans laquelle le giallo aura été classé.
Personnellement, j’ai dénombré cinq types de giallis différents, que j’ai baptisé de la façon suivante (ce qui n’engage que moi), afin de les distinguer:

  1. le Giallo Sado: le plus classique, celui où un tueur sadique décime de manière anonyme la moitié du casting avec son arme blanche favorite.
  2. le Giallo Psycho: peu de meurtres, mais beaucoup de psychologie, ce qui est souvent rasoir et nous ramène donc au giallo.
  3. le Giallo Erotico : le cinéma érotique a pompé tous les genres (western, comédie, péplum voir dessins animés), donc pourquoi pas le giallo ?
  4.  le Giallo Rigolo : certaines comédies italiennes se sont parfois inspirées des codes du giallo. Mais le genre se marie mal avec l’humour, même s’il est noir !
  5. le Giallo Késako: le plus étrange de tous, celui ou le scénariste, après avoir fumé sa moquette s’est mis à délirer et a pondu un film (ou du moins classé comme tel par les critiques) qui a le goût du giallo, l’odeur du giallo, mais qui à mon avis n’est pas vraiment un giallo…
Enfin, il y a  énormément de films référencés sur plusieurs sites Internet comme étant des giallis mais qui en fait ne sont que des films policiers (" La Ragazza dal pigiama giallo » de Flavio Mogherini), des drames psychologiques (« Anima persa » de Dino Risi ), ou simplement des films d’horreur ( « Suspiria » de Dario Argneto) qui, toujours à mon avis, n’ont rien à voir avec un giallo


Pour mieux nous y retrouver dans le nombre, j'établirais une liste de tous ceux que je considère comme étant des giallis. Cette liste est bien entendue "ouverte" à toute évolution quand à l'appartenance ou non au genre "Giallo" de certains titres et tout ce qu'il y a de plus subjective.
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