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4 novembre 2009 3 04 /11 /novembre /2009 11:06
Notre bonne vieille bouteille de J&B fait  encore sa star et montre le bout de son goulot dans quelques gialli...

Tuo vizio è una stanza... 1972


Tutti i colori del buio  1972


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14 août 2009 5 14 /08 /août /2009 08:40
Encore quelques gialli ou notre belle bouteille de J&B fait une courte, mais remarquée appartition

"La
casa d'aputtamento"




"Torso" (I Corpi presentano tracce di violenza carnale) ou J&B apparait même sous la forme...  d'un cendrier


"La Tarantola dal ventre nero"




"La Sorella di Ursula" ou J&B revient sous forme de bouteille ET de cendrier. Si c'est pas de la Pub subli-minable ça...




.
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31 mai 2009 7 31 /05 /mai /2009 15:36
Dans "La clinique sanglante" aussi, notre bonne bouteille de JB fait une (courte) apparition...
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20 mai 2009 3 20 /05 /mai /2009 15:42


La Dama rossa uccide sette volte, (La Dame rouge tua sept fois), 1972, réalisé par Emilio Miraglia (Italie/Allemagne) avec Barbara Bouchet (Kitty Wildenbrück), Marina Malfatti (Franziska Wildenbrück), Ugo Paglaii (Martin Hiffman), Sybil Danning (Lulu Palm), Maria Pia Giancaro (Elizabeth Hoffman), Rudolf Schündler (Tobias Wildenbrück), Marino Masé (inspecteur de police). Lorsqu’elles étaient enfants, le grand-père d’Evelyne et de Kitty Wildenbrück leur raconta qu’une légende voulait que tous les 100 ans, une représentante de la famille soit possédée par l’esprit de la dame rouge et soit contrainte d’assassiner 7 personnes pour prolonger cette malédiction. Or la légende voudrait que ce soit au tour d’Evelyne d’être possédée. Quelques années plus tard, alors qu’elles se promènent dans le jardin du château, Kitty tue accidentellement sa sœur Evelyne. Le corps est caché à la cave et la vie reprends son cours au chateau comme si de rien n'était. Mais un beau jour,  le grand-père est assassiné, puis c’est au tour de proches de Kitty d’être les victimes d’une mystérieuse silhouette masquée et vêtue d’une cape rouge. La malédiction se poursuivrai-elle ? Mais dans ce cas là qui est la dame rouge, puisque apparemment Evelyne est belle et bien morte (et emmurée)? 


Quelques apprations en guest star de notre "starlette JB qui à, il faut le dire, pris un peu de la bouteille... puisque par moment elles sont 2 !

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6 mai 2009 3 06 /05 /mai /2009 10:51
Ca y est c'est officiel (mon mari), Veronica Lario, alias Madame Silvio Berlusconni en ayant marre de porter les cornes, a décidé de divorcer de son mari. Esperons pour elle que cela se passera mieux dans la vie réelle qu'au cinéma, car, souvenez vous de ce qu'il lui est arrivé lorsqu'elle était mariée à Tony Franciosa dans "Ténèbres " de Dario Argento...
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31 janvier 2009 6 31 /01 /janvier /2009 16:39

Non si Sevizia un Paperino (La longue nuit de l’exorcisme)
, 1972, réalisé par Lucio Fulci (Italie), avec Florinda Bolkan (Maciara), Barbara Bouchet (Patrizia), Tomas Milian (Andrea Martelli), Marc Porel (Don Alberto Avallone).
Lucio Fulci aurait'il passé un pacte, non pas avec le diable, mais avec J&B ? En tout cas, cette diablesse de bouteille est souvent à l'écran, surtout lorsqu'il sagit de l'intérieur de Barbara Bouchet...



Un autre film ou les charmes de J&B sont largement mis en valeur! Cette fois-ci, non seulement on apperçoit la bouteille mais par plusieurs fois aussi carrément une grosse affcihe publicitaire... Tous les moyens sont bons pour se faire remarquer!

Nude per l'assassino (197) (Nue pour l'assassin), réalisé par Andréa Bianchi (Italie), avec Edwige Fenech (Magda Cortis), Nino Castelnuovo (Carlo Bianchi), Femi Benussi ( Lucia Cerrazini), Solvi Strubing (Patrizia).

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4 novembre 2008 2 04 /11 /novembre /2008 10:37
 Continuons sur notre lancée... Toujours dans "Giornata nera pêr l'ariete", il a beau être beau, notre héros prend de la bouteille... Mais pas n'importe laquelle, une bouteille de J&B bien sûr ! Et ce , dès le générique.

Notre J&B prend de l'importance. Comme disait un fidèle Grognard: Vive "l'ampleur".

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24 octobre 2008 5 24 /10 /octobre /2008 10:34

De toutes, c'est celle qui est le plus souvent apparue dans des gialli...
                     Et pas forcément sous forme de cadavre !!!


Et j'en veux pour preuves, ces quelques photos prises au hasard dans les giailli suivant:

1969:
Fémina ridens de Piero Schivazappa, avec Philippe Leroy et Dagmar Lassander


Una sull'altra de Lucio Fulci, avec Jean Sorel, Elsa Martinelli et Marisa Mell

admirez la façon dont Lucio Fulci a placé la bouteille de J&B entre les jambes de Marisa Mell... d'un merveilleux symbolisme phallique!


en 1970
Cinque bambole per la luna d'agosto de Mario Bava avec Edwige Feneux, Ira de Furstenberg, Howard Ross.
A noter que c'est un des gialli ou la bouteille de J&B apparait le plus souvent, parfois même en deux exemplaires, comme par exemple photo n° sur la table basse en haut à droite et dans la main de l'acteur juste à coté, les deux étiquettes bien visibles, publicité oblige évidement... !

La aussi le symbole phallique assure complètement sa place...



Paranoia d'Umberto Lenzi, avec Jean Sorel et Carrol Baker. Ici la bouteille de J&B fait souvent une apparition, parfois même en très gros plan !!!


L'oiseau au plumage de cristal de Dario Argento, avec Tony Musante et Suzy Kendall. La aussi, notre bonne vielle J&B apparait régulièrement, quelques fois même en gros plans et aussi , inovation, sous forme de publicité dérivée (un cendrier).



en 1971
La queue du scorpion de Sergio Martino, avec George Hilton et Anita Strindberg.
J&B s'enhardie !!! Voila maintenant qu'elle exige des gros plans d'elle, alors que rien dans la scène ne le justifie vraiment !!!

Gros plan sur le phono et la bouteille, puis zoom arrière sur relations tendres. La bouteille reste de galce !

L'hotesse de l'air dors toujours avec une bouteille de JB à la tête du lit ???
Gros plan, puis zoom arrière dans la chambre du stewart en train de zieuter la téloche. Puis la bouteille deviendra même l'unique  témoin de son assassinat !

Après un plan large ou l'on apperçoit Athenes et nos héros de dos avec la bouteille bien placée au milieu sur la table de bistrot, on passe a un gros plan de la main de Hilton montrant un article de journal et qui passe juste devant la bouteille et surtout son beau logo !!!
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1 octobre 2008 3 01 /10 /octobre /2008 10:58
Rossella Falk est née Antonia Falzacappa à Rome en 1926. Si elle est assez peu connue en France, elle est par contre très populaire de l’autre coté des Alpes ou elle orienté sa carrière d’actrice beaucoup plus vers le théatre que vers le cinéma (24 films en 60 ans). Il faut dire que le cinéma n’a peut être pas permis à cette grande actrice de montrer, contrairement au théatre, de quoi elle était capable. En effet, si Rossella a jouée pour quelques grands metteurs en scène comme Fellini ("8 1/2")  ou Joseph Losey ("Modesty Blaise"), le reste de sa carrière cinématographique sera presque essentiellement composé de téléfilms ou de gialli. De gialli en effet, car c’est surtout dans ce genre cinématographique qu’elle s’est souvent distinguée.

Dès 1968 dans "Piu tardi, Claire, piu tardi" de Brunello Rondi, elle joue un des membres de la famille de Garry Merrill, famille qui n’est peut être pas étrangère à la mort de la première femme de celui-ci. Un film assez rare, à l’ambiance très Agatha Christienne et qui mérite d’être vu.

En 1971, Paolo Cavera lui fait tourner "La Tarantola dal ventro nero" ou elle interprète Franca Valentino, une épouse volage qui non seulement se fait plumer par Claudine Auger qui, avec l’aide de son amant, la fait chanter au moyen de photographies compromettantes, mais carrément assassiner par un tueur en série qui, après avoir paralysé ses victimes à l’ade d’une aiguille plantée à la base du cou, les éventres joyeusement alors qu’elles ont toujours conscientes mais incapables de faire le moindre mouvement. Le pire pour elle est que le commissaire de police, joué par Giancarlo Giannini, se trouve de l’autre coté de sa porte et ne se doute de rien...

Toujours en 1971, dans "Giornata nere per l’ariete", elle joue Sofia Bini, une femme de tête qui n’a plus de jambes (elle est paralysée) et qui se fera étrangler par un autre assassin en série qui la fera basculer dans un escalier, achevant ainsi de la tuer. Un assassin qui abandonne près de chaque corps de ses victimes un gant de cuir auquel il maque un doigt.

L’année suivante, dans "L’assassino ...e al telefono", elle interpète Margaret, l’amie intime d’Anne Heywood, qui en ayant marre que cette dernière ne voit pas l’amour qu’elle lui porte, fait d’abord assassiner son fiancé avant que lui jeter de nouveau le tueur (interprété par Telly Savalas) dans les pattes. Mais comme dans tout bon giallo qui se respecte, les lesbiennes n’ont pas le droit de survivre après la fin du générique, elle se suicidera en constatant que ses funestes projets ont échoué.



Les réalisateurs de gialli, décidement, voient en elle une victime de choix. La même année, dans le remarquable "Sette orchidée macchiate di rosso", Umberto Lenzi lui fait interpréter le rôle d’Elena Marchi, une femme dépressive, qui se fait assassiner dans sa chambre d’hopital (noyée dans sa baignoire) tranquillement et surement (les infirmières étant persuadées que ses appels à l’aide ne sont en fait du qu’a sa maladie de la persécution) par un tueur qui laisse derrière lui à chaque fois sur ses victimes un bijou en forme de lune. Après ce film, Rossella Falk fera une pose cinématographique de 14 ans, préférant jouer des auteurs prestigieux (comme Tennessee Williams par exemple) au théatre que jouer des rôles secondaires au cinéma.


Dario Argento se souviendra qu’elle ft une grande actrice de giallo et lui confiera, dans "Nonhosonno" en 2000,  le rôle de la mère du "Nain", un auteur de livres policers qui se suicida après avoir été soupçonné d’être un tueur en série qui assassinait ses victimes en suivant à la lettre les paroles d’une comptine enfantine. Alors qu’elle recherche elle aussi la véritable identitée du tueur, elle se fera tuer (en tombant de la rambarde d’escalier de son ancienne demeure) en cherchant une preuve permettant de prouver l’innocence de son fils.


En 2007 la Mostra de Venise rendra hommage à son immense talent en faisant d’elle une de ses invitées d’honneur.
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16 mars 2008 7 16 /03 /mars /2008 23:27
fond-noir-koscina.jpgSylva Koscina, c'est un peu notre Anicée Alvina version transalpine (le talent en plus!). Dès qu'elle voit un objectif ou entend les mot magiques "On tourne !", elle se fout à poil... Et cela ne la gènera pas de le faire jusqu'à l'age de 50 ans et plus.
Notre belle Giallo Queen, bien que née à Zagreb (en Croatie), le 22 août 1933, est d’origine Italienne. Sa carrière, internationale, est longue de plus de 120 titres, certes pas tous prestigieux… mais même dans les films les plus ringards (et Dieu sit si on l'a gatée de ce coté là), elle sût toujours tirer son épingle du jeu et rendre le film intéressant, au moins à cause de sa présence... Son premier grand film sera « Michel Strogoff », avec Curd Jurgen en 1956. Elle jouera souvent dans les films d’aventures que ce soit en France (avec Lino Ventura par exemple) ou en Italie (notamment dans quelques « Hercule » ou les mini-jupettes grecques sauront mettre en valeur son corps de rêve…) Hollywood, toujours avide de beauté exotique (tout ce qui n’est pas Américain est exotique à Hollywood), la réclame et lui donne comme partenaire Paul Newman (« The secret war of Harry Frigg »), Kirk Douglas (A lovely way to die »), Rock Hudson (« Hornets’ Nest). Malheureusement pour elle, ce sont toujours les plus mauvais films de ces acteurs, ceux dont on a jamais entendu parler… 
bodyguard07.jpghornets_nest06.jpg
Dépitée, plutôt que de rester dans sa chambre, elle s’en retourne en Italie ou elle est toujours une vedette à part entière. Elle tournera en 1972 son premier giallo : « Nel buio del terrore » , une sombre histoire de triangle amoureux à quatre personnages. Une histoire ou elle devient même la maîtresse de … Marisa Mell. 
Nel-buio-del-terrore-36.jpgNel-buio-del-terrore-35.JPG
La même année, elle enchaine avec «Rivelazioni di un maniaco sessuale al capo della squadra mobile », ou elle est l’épouse volage de Farley Granger qui poursuit justement un sérial killer dont la spécialité est d'assassiner les épouses infidèles… Ce qui peut se révéler pratique dans un pays ou le divorce n’est toujours pas accepté. 
Rivelazioni-di-un-maniaco-sessuale-23.jpgRivelazioni-di-un-maniaco-sessuale---17.jpg
Il est amusant de noter que la réalité dépasse parfois la fiction...En 1967, alors qu’elle était en pleine ascencion hollywodienne, Sylva Koscina défraya la chronique en Italie en épousant, secrètement,  l’industriel Raimondo Castelli, qui, hélas pour elle était déjà marié et dont la femme « légitime » ne voulait pas divorcer. Les jeunes « mariés » durent donc célébrer leurs noces au Mexique, mais le mariage ne fut jamais reconnu en Italie ou l’industriel était considéré comme bigame. De toute façon ils divorcèrent en 1971. 
En 1972 toujours, elle tourne dans un de ses meilleurs gialli: "Sette sciali di sette gialla" ou elle est devient l’épouse de Giacomo Rossi-Stuart (un habitué des gialli lui aussi), une épouse qui sort ses griffes lorsque d'autres femmes lui tournent autours. 
black_cat2.jpg5354334.JPG
L’année suivante, en 1973, elle tourne dans un faux giallo de Mario Bava : « La casa dell’ esorcismo », plus connu chez nous sous les titres « Lisa et le diable » et « La maison de l’exorcisme », ou elle a pour partenaire sa grande rivale en page centrale de « Ciné Revue », Elke Sommer, ainsi qu’Alida Valli (qui n’a jamais fait aucune page centrale) et Telly savalas (encore moins !). Il est difficile de classer véritablement ce film comme un véritable giallo étant donné que seule une demi-heure du film pourrait vraiment rentrer dans la catégorie, le reste étant… on ne sait toujours pas très bien quoi, vu que les producteurs ont monté et remonté le film une bonne quinzaine de fois et que désormais, si l'on n'est pas sous l'influence d'une drogue hallucinogène, on ne comprend rien au film.
Capturer7.JPGCapturer5.JPG
En 1974 enfin elle tourne ce que certain considèrent comme son plus mauvais giallo (tandis que d’autres pensent que c’est le moins bon) l’exécrable « Delitto d’autore ». 
01531803.jpgCapturer-copie-1.JPG
La fin de carrière de Sylva Koscina durera encore une dizaine d'année, mais ne fut hélas pas des plus brillantes, puisqu’elle finira par tourner dans des spots publicitaires, et posera même nue dans "Playboy" dans un superbe manteau de fourrures. Elle décèdera d’un cancer, à Rome, en 1994.
a476_1_b.jpgcinerevue_1970_49_1.jpgcinerevue_1972_33_1.jpg playboy-copie-1.jpg
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